Le 6 décembre 1995, la carrière de Jocelyn Thibault prenait une nouvelle direction. Celle de Montréal, en compagnie d’Andrei Kovalenko et de Martin Rucinsky. Si pour plusieurs amateurs, ce fut l’échange de Patrick Roy au Colorado, pour Jocelyn Thibault, ce fut le début de l’expérience d’une vie. Il raconte ce moment marquant du sport québécois, selon sa perspective, dans ses propres mots.

Chaque mois, depuis 1995, on me parle de mon passage avec le CH. Les gens me racontent leurs souvenirs. Je m’en fais parler tout le temps. Ce fut une chance incroyable. Un privilège, de côtoyer les anciens. De faire partie de cette famille. À Montréal, j’ai vécu plusieurs choses agréables, d’autres moins agréables. Je me suis bâti une résilience, des valeurs de vie, dont je me sers encore aujourd’hui.

— Propos recueillis par Sébastien Lajoie, La Tribune

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