Subaru a récemment levé le voile sur la version canadienne du Subaru Crosstrek qui a fait l’objet en septembre dernier d’un dévoilement mondial.

Comme exposé en prémisse, les changements ne sont pas fondamentaux, la marque japonaise cherchant à tirer son épingle du jeu en peaufinant un produit qui demeure concurrentiel dans un segment populaire. Ainsi, la plateforme reste la même, mais est rigidifiée pour augmenter de 10 % la résistance à la torsion grâce à un plus grand usage d’adhésifs structurels. Ce Crosstrek reçoit également la crémaillère de la WRX pour plus de précision.

Pour coiffer le tout, la carrosserie fait l’objet d’un léger remodelage concentré sur une calandre hexagonale sans cadre et des phares plus fins. On affirme également que l’aérodynamisme a aussi été retouché pour permettre un meilleur écoulement d’air et assurer une meilleure stabilité. Notons en outre l’arrivée de l’intégration d’Apple CarPlay et d’Android Auto sans fil de série.

Sur le plan mécanique, c’est du pareil au même, ou presque. Un quatre-cylindres de 2 L de 152 ch demeure le choix par défaut en entrée alors qu’un quatre-cylindres de 2,5 L de 182 ch est avancé en option. La boîte manuelle disparaît du catalogue, laissant la pleine place à la transmission CVT.

Le Subaru Crosstrek 2024 arrivera chez les concessionnaires dès la fin du printemps à un prix de départ de 28 995 $, soit une hausse de 4000 $ lorsqu’on le compare à la livrée manuelle de base (Convenience) 2023.