Le Toyota Sequoia fait face au GMC Yukon, au Jeep Wagoneer et au Nissan Armada dans sa catégorie.

GMC Yukon

Prix : à partir de 71 397 $

Revitalisé il y a deux ans, le Yukon consolide ses acquis. De concert avec une boîte automatique à 10 rapports, le V8 de 5,3 L qui l’anime diminue – légèrement – sa consommation en hydrocarbures. Pas assez cependant pour rivaliser avec le Sequoia. En revanche, le Yukon se révèle plus confortable grâce à l’ajout d’une suspension arrière entièrement indépendante. Les déclinaisons AT4 et Denali font mieux encore puisqu’elles tirent toutes les deux profit du système d’amortissement actif (Magnetic Ride), lequel améliore également le comportement de ce gros utilitaire. Sur le plan technologique, le GMC accroît son avantage en offrant cette année un dispositif de conduite semi-autonome (Super Cruise).

Jeep Wagoneer

Prix : à partir de 83 290 $

PHOTO FOURNIE PAR STELLANTIS

Le Jeep Wagoneer

Au terme d’une très longue éclipse, le Wagoneer reprend du service chez Jeep. Ce modèle, qui partage la même architecture que le RAM 1500, étrenne cette année une toute nouvelle motorisation. Prometteur, ce six-cylindres suralimenté n’a cependant pas encore prouvé sa fiabilité. Cela dit, cette motorisation représente sur le plan écologique un bien meilleur choix que les deux V8 également inscrits à son catalogue. Par rapport au Sequoia, ce Jeep est plus costaud (capacité de remorquage), plus valorisant, plus silencieux... et plus cher aussi.

Nissan Armada

Prix : à partir de 70 498 $

PHOTO FOURNIE PAR NISSAN

Le Nissan Armada

L’Armada est aujourd’hui l’utilitaire le plus âgé de sa catégorie. Sa mise en service remonte à 2010. Dès lors, on ne s’étonnera pas qu’il soutienne difficilement la comparaison avec ses concurrents plus jeunes, plus modernes et surtout plus économes à la pompe. Le V8 de 5,6 L installé sous son capot consomme beaucoup, mais fait preuve de beaucoup de souplesse et de discrétion. En revanche, malgré des habillages parfois cossus, l’Armada masque difficilement son âge. Qu’à cela ne tienne, face au Sequoia, le Nissan se veut plus rassurant au freinage, moins à bout de souffle pour tracter une lourde charge et surtout moins coûteux à acquérir.