Deux fois par mois, une personnalité publique nous confie quelles sont ses lectures du moment. Cette semaine, l’animatrice et comédienne Anaïs Favron, qui est aussi la nouvelle porte-parole de la Fondation des jeunes de la DPJ, dont la campagne de Noël bat son plein.

Plus jamais la honte

« C’est un livre très dur à lire et je dois prendre des pauses dans ma lecture. Je lis deux ou trois chapitres, et après ça, je vais lire un autre livre. Il n’y a pas deux histoires pareilles des enfants de la DPJ, mais en fait, je ne m’attendais pas à ce que [Nancy Audet] ait vécu tout ça. Je la connais : journaliste sportive, femme des médias, maman, femme forte... Et là, je lis ça et je me dis : comment on réussit à être aussi forte quand on est passé par ça ? Ça vient vraiment me chercher. »

Plus jamais la honte

Plus jamais la honte

Éditions de l’Homme

Kukum

« Je sais que je suis en retard, mais à Tout le monde en parle, on l’a reçu pour la sortie de son plus récent roman [Tiohtià:ke], que j’ai beaucoup aimé. J’ai réalisé pendant l’entrevue que je n’avais pas lu son plus grand hit, donc en sortant de l’émission, je suis allée me l’acheter. C’est le prochain que je vais lire et là, je sais que c’est bon d’avance parce que tout le monde me dit que c’est bon. Et c’est plus épeurant, je trouve, de commencer un livre quand on en a entendu beaucoup de bien. On dirait qu’il y a plus de pression. Il y a des gens qui disaient que son dernier était meilleur, d’autres que Kukum était meilleur, donc j’ai très hâte de voir... »

Kukum

Kukum

Libre Expression

La petite communiste qui ne souriait jamais

« C’est un livre sur l’histoire de Nadia Comaneci qui m’avait été suggéré par Yves P. Pelletier. À un moment donné, dans une soirée, il m’a dit : “Toi, tu as fait de la gym, tu as lu ce livre-là.” En fait, je ne savais même pas qu’il existait, alors je suis allée me l’acheter. Mais ça doit faire plus qu’un an que je l’ai acheté et je suis rendue à le lire maintenant... Je suis une ancienne gymnaste, je suis une grande fan de gymnastique et [ça raconte] les dessous d’une époque de gymnastique. »

La petite communiste qui ne souriait jamais

La petite communiste qui ne souriait jamais

Actes Sud