Le Jatoba figure sur tous les palmarès des plus belles terrasses de Montréal cet été, un statut bien mérité pour cette oasis verte en plein centre-ville. Mais attention, le décor enchanteur, les cocktails exotiques et les sashimis sexy ont un prix !

L'addition peut vite devenir salée, au temple du soya. Heureusement, la cuisine et le bar permettent toutes sortes de formules pour manger et boire selon son portefeuille. Il est même possible de prendre seulement un verre ou deux, sans nourriture.

Cependant, malgré son permis de bar, le Jatoba est avant tout un restaurant. Vous voudrez à coup sûr grignoter quelques petits plats d'inspiration nippone concoctés avec précision par le chef Olivier Vigneault.

Entre le petit bol d'edamame à 5 $ et le contrefilet d'agneau à 55 $, le menu de huit pages offre de jolies options pour tous les appétits. On peut facilement se constituer un copieux apéro avec quelques dumplings, salades, tartares et tatakis. Des plats de poisson et fruits de mer et de viande plus travaillés (et plus chers) rassasieront ceux et celles qui veulent prolonger leur temps en terrasse et commander un repas complet.

Note aux végétaliens : vous serez particulièrement bien servis ici, avec des dumplings à la purée d'aubergines rôties, shiitakés au soya, etc., des salades végétales à 100 % et plusieurs plats de légumes et tofu.

VASTE CHOIX DE BOISSONS

À boire, le choix est aussi vaste. Entre les cocktails aux parfums asiatiques, le saké, la carte des vins polyvalente et trois bonnes pages de spiritueux, le Jatoba ne manque de rien derrière le bar ni en cave. Qu'on veuille se la couler douce avec un seul verre de Chablis ou impressionner des clients avec un saké à 156 $, voire un magnum de Dom Pérignon à 1500 $, tout est possible !

Encerclés par les tours de bureaux, le restaurant et sa vaste terrasse de 70 places accueillent une faune composée majoritairement de travailleurs en costard. Même si ce n'est pas nécessaire, aussi bien en profiter pour porter la petite robe cocktail ou l'ensemble de dandy qui ne sortent pas souvent du placard.

VASTE CHOIX DE BOISSONS

À boire, le choix est aussi vaste. Entre les cocktails aux parfums asiatiques, le saké, la carte des vins polyvalente et trois bonnes pages de spiritueux, le Jatoba ne manque de rien derrière le bar ni en cave. Qu'on veuille se la couler douce avec un seul verre de Chablis ou impressionner des clients avec un saké à 156 $, voire un magnum de Dom Pérignon à 1500 $, tout est possible !

Encerclés par les tours de bureaux, le restaurant et sa vaste terrasse de 70 places accueillent une faune composée majoritairement de travailleurs en costard. Même si ce n'est pas nécessaire, aussi bien en profiter pour porter la petite robe cocktail ou l'ensemble de dandy qui ne sortent pas souvent du placard.

PHOTO OLIVIER JEAN, LA PRESSE

Des petits plats d'inspiration nippone concoctés avec précision par le chef Olivier Vigneault.

OUVERTURE

Du lundi au vendredi, de 11 h 30 à 14 h 30 puis de 17 h 30 à 22 h, le samedi de 17 h 30 à 23 h. Fermé le dimanche.

À BOIRE

Si vous préférez les cocktails courts (servis en coupette) et pas trop sucrés, le Nigori Silky Smooth est une option intéressante. Avec la vodka comme alcool de base, le subtil saké se goûte bien et se marie lui-même à merveille avec la lime et le sirop de galangal. À 14 $, c'est aussi un des cocktails les moins chers de la carte.



À MANGER

Des dumplings et encore des dumplings ! Il n'y a rien de plus facile à partager que ces petites pochettes farcies. Le menu du Jatoba en offre cinq variétés, dont le classique gyoza (porc et crevette) et l'« Ultra » au crabe d'Alaska. La suite vous appartient, qu'elle soit composée de salades ou de plats plus copieux, d'inspiration principalement japonaise, avec tout l'umami que cela comporte !

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PHOTO OLIVIER JEAN, LA PRESSE

Entre les cocktails aux parfums asiatiques, le saké, la carte des vins polyvalente et trois bonnes pages de spiritueux, le Jatoba ne manque de rien derrière le bar ni en cave.