Les mères qui accouchent d'un garçon dépensent plus d'énergie que si elles accouchent d'une fille, au point où l'enfant suivant aura moins de chances dans la vie.

En remontant dans les registres des églises finlandaises des années 1709 à 1815, et en retraçant les descendants des enfants nés à cette époque, des chercheurs britanniques ont ainsi conclu à un «effet garçon», où les traits du premier-né influencent le sort du reste de la lignée.

Même le taux de survie: si le premier bébé est une fille, le suivant a un peu plus de chances de survivre que si le premier est un garçon.