Les membres du Syndicat national des travailleurs des pâtes et papiers de Kénogami, affiliés à la CSN (FTPF-CSN), ont accepté dans une proportion de 61 % le nouveau projet de restructuration de la papeterie Kénogami ayant pour but de diminuer les coûts de production de la tonne de papier.

Le président du syndicat CSN, Claude Moisan, aurait préféré créer des emplois dans cette usine qui en est à une nouvelle restructuration qui coûtera 60 emplois permanents par attrition d'ici les trois prochaines années. Le syndicat CSN verra ses effectifs fondre de 34 membres.

"La négociation a été complexe puisque les travailleurs ont accepté le principe des horaires de 12 heures par jour pour une période de 40 heures. L'objectif était d'aller chercher une réduction de l'ordre de 15 % des coûts de production la tonne de papier et ça représente plus ou moins 60 emplois sur les 430 de l'usine", a insisté le président.

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