« Nos chalets sont tous installés et pour la plupart, je vais dire 98 % parce qu’il en manque peut-être quelques-uns, mais ce n’est pas grand-chose », estime Karl Hivon qui a lui-même 25 chalets de pêche roulant à plein régime, en ce premier week-end d’activités suivant l’installation tardive de plusieurs pourvoyeurs sur la rivière Sainte-Anne.

Le début de saison en dents de scie semble être une histoire du passé pour de bon, selon l’Association des pourvoyeurs de la rivière Sainte-Anne. La quête difficile d’un stationnement sur la glace ou aux alentours de la rivière témoigne d’ailleurs d’une bonne lancée, en termes d’achalandage.

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