Bien des francophones ont évolué pour le Canadien — ou l’ont dirigé — depuis 1993. Aucun n’a eu la chance, comme Philip Danault, de vivre une finale de la coupe Stanley dans sa cour.

La métropole est un marché unique dans la LNH. Quand l’équipe s’enlise, ce n’est pas très agréable. À l’inverse, la séquence actuelle doit être grisante à souhait.

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