À la même période, il y a un an, il sortait à peine des soins intensifs, mis en échec par un virus qui bouleverse toujours la vie quotidienne des gens. Aujourd’hui, Marc Tardif se porte bien et il s’est bien remis de cette épreuve qui n’arrive pas qu’aux autres. L’occasion était belle pour discuter avec l’ancien capitaine des Nordiques de Québec, surtout que le hasard fait en sorte qu’en plus de coïcider avec le premier anniversaire de cette mésaventure, le printemps 2021 marque aussi le 50e de la conquête de sa première Coupe Stanley avec le Canadien et le 45e de la triste attaque de Rick Jodzio à ses dépens. Entrevue en trois périodes.

PREMIÈRE PÉRIODE

Le printemps 1971

« Je préfère dire 50 ans, on dirait qu’un demi-siècle, ça fait encore plus longtemps », rigole le grand Marc Tardif en acceptant de plonger dans ses souvenirs qui l’ont ramené jusqu’à Saint-Méthode-de-Frontenac (depuis annexé à Adstock), la ville du pain du même nom où il est né, il y a bientôt 72 ans.

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