Gino Odjick n’a jamais reculé devant un combat. Il s’est frayé un chemin de la réserve Kitigan Zibi, près de Maniwaki, jusqu’à la Ligue nationale de hockey, en passant par Hawkesbury et Laval. Rendu là, d’abord avec les Canucks de Vancouver, puis avec les Islanders, les Flyers et le Canadien, il a lâché ses gants pas moins de 148 fois et passé 2567 minutes au cachot, le 17e plus haut total de l’histoire.

Une fois à la retraite, il a ensuite dû mener une bataille pour sa vie il y a six ans quand une maladie rare, l’amylose, s’est attaquée à son coeur. À l’origine, ses médecins de Vancouver estimaient que ses jours étaient comptés, au point où il avait écrit une lettre à ses partisans et amis où il faisait presque ses adieux.

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