Par ailleurs, plusieurs autres espèces inusitées ont été signalées récemment sur le site Les oiseaux rares du Québec (www.oiseauxrares.qc.ca), notamment ce moqueur chat qui grignotait des petits fruits près du restaurant La Saulaie, à Boucherville. Au début de la semaine, un de mes amis, qui vit dans le même coin, a découvert deux carouges à épaulettes dans sa mangeoire alors qu'un autre spécimen était aussi signalé à un poste d'alimentation, dans l'est de la ville de Montréal. Cet oiseau qui hiverne dans les États américains frontaliers a-t-il décidé de profiter du temps clément pour explorer ses territoires de nidification? Voilà qui n'est pas impossible, du moins pour certains individus particulièrement pressés.

Par ailleurs, plusieurs autres espèces inusitées ont été signalées récemment sur le site Les oiseaux rares du Québec (www.oiseauxrares.qc.ca), notamment ce moqueur chat qui grignotait des petits fruits près du restaurant La Saulaie, à Boucherville. Au début de la semaine, un de mes amis, qui vit dans le même coin, a découvert deux carouges à épaulettes dans sa mangeoire alors qu'un autre spécimen était aussi signalé à un poste d'alimentation, dans l'est de la ville de Montréal. Cet oiseau qui hiverne dans les États américains frontaliers a-t-il décidé de profiter du temps clément pour explorer ses territoires de nidification? Voilà qui n'est pas impossible, du moins pour certains individus particulièrement pressés.

Jeudi dernier, on signalait aussi un canard branchu à Noyan, un troglodyte de Caroline à Repentigny, un moqueur polyglotte dans un marais le long du boulevard Saint-Elzéard Est, à Laval, et même un martin-pêcheur au Fort de Chambly, sur le bord du Richelieu, un oiseau qui n'a manifestement pas froid aux yeux. D'ailleurs, même au cours des hivers les plus froids que l'on a connus ces dernières années, il y avait toujours au moins un martin-pêcheur qui passait toute la saison froide au Québec, là où l'eau était libre de glace.