Le confort d'un siège d'auto n'est pas accidentel. Les constructeurs et certains dévoués employés se fendent en quatre pour y arriver. Depuis le temps qu'ils en font, ils ont du savoir-faire et la technologie a donné à leurs ergonomes de nouveaux outils pour faciliter l'interface fesses-feutre.

Ils ont des systèmes de cartographie des points de pression fessiers et des mannequins lestés à surface fessière variable pour les aider. Mais rien ne vaut un vrai être humain pour valider les modèles mathématiques du siège optimal.

Avant de finaliser la forme et l'élasticité des sièges de l'Impala 2014 de nouvelle génération, une unité spéciale d'essayeurs dévoués a passé des centaines d'heures et roulé des milliers de kilomètres dans des prototypes, pour évaluer le confort des différentes configurations de sièges envisagées.

Au fil de séances de 60 minutes, des femmes et des hommes mesurant de 5 pi à 6 pi et pesant de 110 lb à 223 lb donnaient des cotes au coussin, au dossier, au soutien lombaire, à l'appuie-tête et aux rebords de maintien latéral.

«C'est à la fois un art et une science», affirme Jill Green, patronne du labo du confort des sièges à la piste d'essai de GM à Milburn, au Michigan.