Il y a eu Elvis, ressuscité virtuellement pour un duo avec Céline Dion à l'émission American Idol en 2007. Il y a eu Tupac Shakur en prestation posthume au festival Coachella en 2012.

Il y a eu Michael Jackson, vedette incontestée des Billboard Music Awards de 2014, cinq ans après sa mort. Et la tendance aux hologrammes est loin de s'essouffler: hier, le producteur David Michel a annoncé que quatre icônes de la chanson française - Dalida, Claude François, Sacha Distel et Mike Brant - allaient connaître une deuxième vie sur scène, en hologrammes, à partir de janvier prochain.

«Ce sera une première mondiale sous forme d'un concert complet», a indiqué M. Michel à l'AFP. La société française Mac Guff, spécialisée dans les hologrammes et les images de synthèse, utilisera la technologie de la capture de mouvements pour «faire bouger» les quatre stars défuntes.