Comme elle l’a déjà fait pour d’autres chansons, l’animatrice Monique Giroux prépare une balado qui va raconter l’histoire de La saisie, magnifique œuvre de Louise Forestier et de François Dompierre.

L’origine de cette chanson remonte à 1972, au moment où un huissier débarque chez Louise Forestier avec l’intention de prendre possession de certains biens.

Absente lors de cette visite, la chanteuse a laissé une note sur le piano qui dit : « Ne touchez pas à mon piano, c’est tout ce que j’ai à me mettre sur le dos… » Sans doute touché par ces mots, l’huissier a laissé l’instrument à sa place. En 1992, l’artiste s’est finalement séparée de son piano, un Baby Grand. Elle a trouvé preneur grâce à une petite annonce publiée dans La Presse.

Les acheteurs, un couple de Verdun (croit se souvenir Louise Forestier), ont demandé à la chanteuse d’autographier la table d’harmonie du piano. Monique Giroux est maintenant à la recherche de l’huissier et des propriétaires du piano.

Si vous possédez des renseignements susceptibles de l’aider, écrivez à : mario.girard@lapresse.ca