Augmentation de l'impôt sur le gain en capital, hausse de la limite de retrait dans le cadre du RAP, un REEE automatique... et un déficit de 40 milliards. Voici des articles et des chroniques qui traitent du budget fédéral 2024.

Six clés du budget

PHOTO BERNARD BRAULT, ARCHIVES LA PRESSE

La ministre des Finances, Chrystia Freeland, a déposé mardi son quatrième budget. Notre journaliste en présente les grandes lignes.

Lisez l'article de la journaliste Mylène Crête

Tour de vis sur les gains en capital : vendre vite pour économiser en impôt

Chalets, résidences secondaires, actions… Il vous reste environ deux mois pour vendre ce type d’actifs avant d’avoir à payer plus d’impôt sur le gain en capital – un premier tour de vis du genre en un quart de siècle. Des dizaines de milliards en bénéfices risquent d’être réalisés d’ici là.

Lisez l'article du journaliste Julien Arsenault

Le logement, la vedette du budget

Le logement s’annonçait comme l’un des thèmes principaux du budget, et c’est le cas : le mot y apparaît 564 fois. Malgré l’effeuillage prébudgétaire, de nouvelles pierres viennent s’ajouter à l’édifice que les libéraux avaient commencé à bâtir. Retour sur les « vieilles » annonces et tour du locataire (propriétaire ? ) de certaines mesures clés.

Lisez l'article de la journaliste Mélanie Marquis

Ce qui bouge dans votre portefeuille

PHOTO ALAIN ROBERGE, ARCHIVES LA PRESSE

Pour les nouveaux achats à compter de mardi, la limite de retrait dans le cadre du Régime d’accession à la propriété (RAP) passe de 35 000 $ à 60 000 $.

Notre journaliste présente six mesures qui ont un impact financier sur les contribuables.

Lisez l'article du journaliste Karim Benessaieh

Caisses de retraite : un comité pour stimuler l’investissement

PHOTO PATRICK SANFACON, LA PRESSE

Le gouvernement fédéral veut inciter les gestionnaires de caisses de retraite à investir davantage au pays.

Le gouvernement Trudeau n’est pas resté insensible aux appels du milieu des affaires à inciter les gestionnaires de retraite canadiens à investir davantage au pays. Il mandate un groupe pour se pencher sur la question, mais on ignore quand un coup de barre pourrait être donné.

Lisez l'article du journaliste Julien Arsenault

La magie de Freeland

PHOTO PATRICK DOYLE, REUTERS

La ministre des Finances, Chrystia Freeland

Après la pléthore d’annonces des dernières semaines, on s’attendait à un boom du déficit fédéral, littéralement. Or, ce n’est pas le cas, le déficit de Chrystia Freeland reste stable à « seulement » 40 milliards de dollars.

Le chroniqueur Francis Vailles

Lisez la chronique de Francis Vailles

Bon d’études canadien : jusqu’à 2000 $ versés automatiquement aux enfants

PHOTO ALAIN ROBERGE, ARCHIVES LA PRESSE

Ottawa ouvrira lui-même des Régimes enregistrés d’épargne-études (REEE) aux enfants pour y verser les BEC auxquels ils ont droit.

Hélas, chaque année, 130 000 enfants défavorisés qui auraient droit à un BEC n’en bénéficient pas. Malgré son charmant acronyme, le Bon d’études canadien manque encore cruellement de notoriété, deux décennies après sa création. Des familles à faibles revenus se privent ainsi d’un cadeau pouvant atteindre 2000 $, sans compter les rendements qui s’accumulent au fil des ans. Ce problème sera enfin réglé.

La chroniqueuse Marie-Eve Fournier

Lisez la chronique de Marie-Eve Fournier

Le pari de Chrystia Freeland

PHOTO JUSTIN TANG, LA PRESSE CANADIENNE

La ministre des Finances, Chrystia Freeland

Nouvelles dépenses. Nouvelles taxes. Pas de retour à l’équilibre budgétaire à l’horizon. Et un signal clair aux jeunes inquiets du coût de la vie qu’Ottawa se préoccupe de leur sort et remue ciel et terre pour régler la crise du logement.

Lisez l'article du journaliste Joël-Denis Bellavance

Le prix de l’indiscipline

PHOTO PATRICK DOYLE, REUTERS

Le premier ministre du Canada Justin Trudeau et la ministre des Finances Chrystia Freeland

Était-ce Noël en avril, à Ottawa ? Non, mais il y avait des cadeaux pour tout le monde dans le copieux budget de 483 pages déposé, mardi, par le gouvernement Trudeau qui cherche désespérément à remonter dans les sondages.

L'éditorialiste Stéphanie Grammond

Lisez l'éditorial de Stéphanie Grammond