Vous aviez le choix, monsieur. Vous auriez pu dire : “Je ne le ferai pas. Ce n’est pas bon pour le Canada et je ne vais pas demander aux Canadiens d’en payer le prix.” Vous aviez la possibilité de dire “non”, mais vous avez choisi de dire “oui” aux vieilles attitudes et aux vieilles histoires du Parti libéral.
Brian Mulroney au premier ministre John Turner lors du débat des chefs du 24 juillet 1984 à propos de nominations partisanes faites par Pierre Elliott Trudeau
Ensemble, nous du prochain gouvernement conservateur, nous allons, espérons-le, et de bonne foi, convaincre l’Assemblée nationale du Québec de donner son assentiment à une nouvelle Constitution canadienne avec honneur et enthousiasme.
Discours de Sept-Îles du 6 août 1984. Une recherche dans les archives indique cependant que M. Mulroney avait utilisé cette formule dès le 26 avril 1984 à Montréal.
Tu nous as menti ! Tu nous as fait voter pour toi puis là, Goodbye Charlie Brown.
Solange Denis, 63 ans, à Brian Mulroney, le 19 juin 1985 dans une manifestation de personnes opposées au projet de désindexation des pensions de vieillesse
Les Mandela, les Tutu, les Boesak finiront par avoir gain de cause.
À la tribune de l’ONU dans un discours antiapartheid, le 23 octobre 1985
Le plus important partenaire économique des États-Unis n’est pas l’Allemagne ou le Japon. C’est nous, et de beaucoup.
Brian Mulroney exprimant son impatience face à la lenteur des négociations sur le libre-échange à la suite d’une visite du vice-président américain George H. W. Bush, le 21 janvier 1987
Je préfère avoir échoué en essayant de faire avancer la cause de l’unité canadienne que de n’avoir pas pris de risque, de n’avoir rien fait et d’avoir critiqué les efforts des autres. Nos efforts pour faire ratifier l’Accord ont échoué, mais cet échec n’est pas l’échec du Canada.
Le 23 juin 1990 à la suite de l’échec de l’accord du lac Meech
Nous espérons que c’est un précédent important s’il empêche d’autres familles d’être traitées d’une façon aussi peu canadienne.
Le 7 janvier 1997 près de son domicile de Westmount à la suite de l’entente à l’amiable avec le gouvernement fédéral sur les fuites entourant l’affaire Airbus
Ronald Reagan a été un président qui a inspiré sa nation et transformé le monde.
Éloge funèbre prononcé le 11 juin 2004 lors des funérailles de Ronald Reagan
La fonction exige du leadership et le leadership est souvent aux antipodes de la popularité. Si votre objectif est d’être populaire, vous pouvez jouer au golf tant que vous voulez et vous n’aurez pas d’ennui.
À propos de ses décisions controversées comme la création de la TPS dans une entrevue au quotidien Le Soleil publiée le 4 septembre 2004
Je regrette sincèrement que ma conduite après avoir quitté mes fonctions de premier ministre ait soulevé des soupçons quant à la convenance de mes activités commerciales personnelles en tant que simple citoyen.
Le 31 mai 2010 à la suite du dépôt du rapport de la commission Oliphant