Le gardien Jonathan Quick, peut-il encore prétendre sans l'ombre d'un doute qu'il est l'homme de la situation chez les Kings de Los Angeles?

Peut-être que oui, peut-être pas. Reste que depuis son rappel, Jonathan Bernier, premier choix des Kings en 2006, a été brillant. Ce ne sont que deux matchs, mais le gardien de Laval a d'abord gagné son premier match en fusillade contre les Stars de Dallas, en accordant un maigre but, et voilà qu'il a blanchi hier les Predators de Nashville, un club qui avait pourtant subi seulement deux défaites à ses 17 derniers matchs.

L'entraîneur Terry Murray a donné une chance à Bernier, qui brillant dans la Ligue américaine, parce que les Kings, et Quick, ne vont pas très bien depuis un mois. Quatre petites victoires en 14 rencontres, et seulement deux obtenues par Quick à ses huit derniers départs. Quick, qui connaissait une saison intéressante, a accordé au moins trois buts et plus dans sept de ses huit derniers matchs.



"Je l'ai (Bernier) vu à l'oeuvre dans seulement deux matchs, mais il est en contrôle, a commenté son coéquipier Sean O'Donnell. Ce n'est pas un accident si toutes les rondelles le frappait sur les jambières ou sur les épaules. Il y a des joueurs de premier plan sur la glace et ils l'atteignait toujours sur la poitrine. Il semble toujours en bonne position."

La suite sera intéressante. Helen Elliott a raison de parler d'un heureux problème dans sa chronique d'aujourd'hui dans le quotidien Los Angeles Times...