Ceux qui me lisent régulièrement connaissent mon opinion sur les durs à cuire au hockey. Je crois qu'ils ne sont plus utile dans le contexte d'aujourd'hui.

Ce qui ne m'empêche pas d'avoir un immense respect pour ceux qui pratiquent ce métier. J'ai vraiment pu apprendre l'autre revers de la médaille en écrivant la biographie de Dave Morissette et c'est probablement ce qui m'a dégoûté des bagarres dans le hockey. À mes yeux, 21 commotions cérébrales, ce n'est pas banal. Et on ne parle pas de la bataille psychologique pour rester à la hauteur à chaque match, à chaque saison.

Je traite donc du départ de Georges Laraque et du rôle de plus en plus restreint des pacificateurs aujourd'hui dans ma chronique.

Le propriétaire des Capitals de Washington, Ted Leonsis, abonde dans le même sens sur son blogue.