"Il ne gagnera jamais en faisant les choses seul et il le sait, mais il a grandi à Atlanta où on lui disait de faire ce qu'il voulait parce qu'il était dominant. Mais tu dois faire confiance à tes coéquipiers et te servir d'eux."

"On ne veut rien lui enlever, mais il y a un temps pour tout. Il peut être créatif comme il veut, mais il y a un moment où tu dois être efficace en défensive et sans la rondelle. Le hockey a changé depuis dix ans, mais le trio que je formais avec Jason Arnott et Petr Sykora a eu du succès parce que nous respections le système de jeu en défensive tout en gardant notre liberté à l'attaque."

"Ilya travaille. Il joue avec passion. Personne ne peut l'accuser de paresser. Mais à certains moments, il se défonce tellement en zone offensive qu'il n'a plus d'énergie pour se replier en défensive."

-Patrik Elias, des Devils du New Jersey, qui se confie à Slap Shots à propos de son coéquipier Ilya Kovalchuk.

Pourquoi diable (excusez le jeu de mot) le DG Lou Lamoriello a-t-il investi autant d'énergie et d'argent pour embaucher un joueur qui correspond si peu aux exigences des Devils? La question était d'actualité il y a six mois. elle l'est encore plus aujourd'hui.

"Ilya is working. He plays hard -- you can't take anything away from his hard work -- but there are times he tries so hard in the offensive zone he doesn't have the energy to come back on defense."

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