Le très distingué David Shoalts, du quotidien Globe and Mail, note avec justesse que la hausse du plancher salarial contribuera à accroitre encore davantage l'écart entre les clubs riches et pauvres de la LNH, un problème que le plafond salarial ne semble pas avoir résolu.

Le plancher est désormais plus élevé que ne l'était le plafond lors du dénouement du lockout en 2005 et risque de compliquer encore davantage le travail des clubs à faibles revenus, dont le budget d'opérations ne cesse de grossir. Shoalts rappelle que 17 équipes doivent gonfler leur masse salariale pour atteindre le plancher à l'heure actuelle. Ce n'est pas évident quand on sait que plusieurs d'entre-elles perdent des millions à chaque année.

J'imagine que Gary Bettman sait ce qu'il fait...