Le complexe Lofts à la Petite Italie est né dans cet environnement. Il comprend deux anciens bâtiments qui logeaient une usine de textile de part et d'autre de la rue Saint-Urbain. Le premier édifice, qui sera complété en juillet, comptera 29 lofts. Le second bâtiment, rénové au cours d'une deuxième phase, sera divisé en 39 unités. Le prix de vente oscillera entre 129 000 $ et 400 000 $ pour des espaces allant de 579 à 1585 pieds carrés. Les lofts les plus spacieux seront des appartements-terrasses au troisième étage; chacun comptera une mezzanine construite à un niveau supérieur, ainsi qu'une terrasse privée.

Le complexe Lofts à la Petite Italie est né dans cet environnement. Il comprend deux anciens bâtiments qui logeaient une usine de textile de part et d'autre de la rue Saint-Urbain. Le premier édifice, qui sera complété en juillet, comptera 29 lofts. Le second bâtiment, rénové au cours d'une deuxième phase, sera divisé en 39 unités. Le prix de vente oscillera entre 129 000 $ et 400 000 $ pour des espaces allant de 579 à 1585 pieds carrés. Les lofts les plus spacieux seront des appartements-terrasses au troisième étage; chacun comptera une mezzanine construite à un niveau supérieur, ainsi qu'une terrasse privée.

Le projet a été approuvé par le comité consultatif d'urbanisme de la Ville. Le promoteur se doit donc de respecter l'intégrité des bâtiments. «On ne pouvait pas modifier les ouvertures, car la Ville voulait conserver les éléments de la façade», explique l'architecte Claude Tremblay. Les fenêtres originales seront donc remplacées par le même modèle à battants horizontaux et les condos des deux premiers étages n'auront pas de balcon.

Cette obligation ne rebute pas l'architecte. Au contraire. «Vivre avec des contraintes, c'est plus facile que d'en inventer, dit-il. On arrive même à des résultats plus intéressants dans ces cas-là.» L'âme du bâtiment, c'est surtout dans les entrées et les corridors qu'on la sentira. Quant au cachet industriel, il sera perceptible grâce à la hauteur des plafonds et à leur apparence: ils sont faits de lattes de bois.

La finition des lofts est aussi intéressante, signale Mathieu Lanctôt, agent immobilier de l'équipe des ventes. «Le prix inclut ce que vous voyez dans le bureau des ventes: comptoir en granit, armoires en bois naturel, céramique, baignoire Neptune et toilettes Toto à faible consommation d'eau. On peut même revoir le prix à la baisse si une personne souhaite des matériaux plus abordables.»

La construction va bon train et les premières unités devraient être livrées en juillet. Qui sont les acheteurs? «On voit beaucoup de gens du quartier, mais aussi des résidants de la banlieue qui veulent revenir en ville, dit M. Lanctôt. On sait que la Petite Italie est un quartier où on peut faire ses courses à pied, au marché Jean-Talon, notamment. C'est très attrayant.»

Les futurs copropriétaires devraient bénéficier d'une certaine quiétude, puisqu'un acousticien surveille le déroulement des travaux. «On propose une insonorisation vraiment supérieure, et ce, tant dans la composition des murs que des planchers et plafonds», souligne-t-il.

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Pour en savoir plus: www.loftspetiteitalie.com