Pendant que le marché immobilier résidentiel donne des signes d'essoufflement, une croissance énergique de l'activité du côté des chalets s'amorce.

Pendant que le marché immobilier résidentiel donne des signes d'essoufflement, une croissance énergique de l'activité du côté des chalets s'amorce.

 La demande de chalets et de terrains de villégiature est si grande qu'il y a surenchère de prix. Spécialement au bord de lacs de prestige et le long du fleuve.

 Selon des données de la SCHL, «24 % des résidants de 44 à 64 ans de la région de Québec possèdent ou ont l'intention d'acquérir une résidence secondaire prochainement» et que le tiers désire l'habiter en permanence.

Alors que, en 2011, près de 275 000 personnes auront joint ce groupe d'âge, la demande, d'après elle, devrait donc être soutenue pendant plusieurs années. En fait, on retapera simplement son chalet, on le transformera en maison habitable à l'année, avec pied-à-terre éventuellement en ville à moins qu'on ne dégote un terrain de choix à flanc de montagne pour y bâtir un chalet alpin.