Depuis le 1er juillet, les chantiers «génèrent encore beaucoup de travail», repoussant «une période de répit anticipée», note la CCQ. Le volume de travail global pourrait alors monter à 124 millions d'heures au total de l'année, un gain de près de 2 pour cent versus 2004; il y avait eu alors 121,8 millions d'heures, un sommet depuis 1978.

Depuis le 1er juillet, les chantiers «génèrent encore beaucoup de travail», repoussant «une période de répit anticipée», note la CCQ. Le volume de travail global pourrait alors monter à 124 millions d'heures au total de l'année, un gain de près de 2 pour cent versus 2004; il y avait eu alors 121,8 millions d'heures, un sommet depuis 1978.

Mais le segment industriel poursuit sa baisse entamée au troisième trimestre de 2004, cela «de façon plus marquée» à raison de 22 pour cent moins (en écart annuel) d'heures travaillées au 30 juin.

Néanmoins, la construction non résidentielle garde une stabilité grâce à la vigueur des segments institutionnel et commercial, en progression de 6 pour cent depuis la même période en 2004. Quant aux génie civil et voirie, les heures travaillées y augmentent de 2 pour cent.

Dans le secteur résidentiel, le deuxième trimestre affiche un nombre d'heures de 3 pour cent supérieur à celui d'il y a un an. Un recul de 8 pour cent du nombre de mises en chantier, aux six premiers mois de 2005, «ne se répercute pas encore sur le volume de travail», observe la CCQ.