Ah! La misère des riches, l'angoisse des beaux, le calvaire des chanceux! Les gens ordinaires ne sont pas en mesure de comprendre les affres et les tourments de la célébrité et du pouvoir de la séduction.

Aussi, pendant qu'on s'inquiète à propos de vétilles comme la survie financière et la décrépitude du corps, des stars vivent un enfer de chaque instant, comme Cameron Diaz, qui ne se sent souvent aimée que pour sa plastique.

Dans une entrevue, l'actrice révèle que sa vie n'a pas été un long fleuve tranquille. Elle dit :

«Si une actrice qui connaît le succès pèse 130 kg et qu'elle a des furoncles, on ne lui demandera pas si sa laideur a contribué à sa gloire. Alors quel est le problème avec les actrices populaires qui sont plus mignonnes que la moyenne? Qu'on ne vienne pas me reprocher ce qui est dans mes gènes!»

Pauvre Diaz! Pauvre créature! On a tout de suite envie de fonder un organisme de charité pour aider les personnes «physiquement avantagées» à sortir du gouffre de la marginalité.