Quand la Nissan GT-R a amorcé sa production à la fin de 2007, Stephen Harper terminait sa deuxième année de mandat à Ottawa et George W. Bush régnait sur les États-Unis depuis six ans. Inutile donc de dire que le coupé japonais, baptisé « Godzilla » en raison de ses capacités hors normes, est mûr pour une refonte.

Ce n’est néanmoins pas ce que Nissan a dévoilé récemment pour sa cuvée 2024. Toujours impressionnante malgré son âge avancé, cette GT-R reçoit des modifications à son design avant et à son becquet arrière pour augmenter l’appui aérodynamique tout en conservant un coefficient de traînée bas.

PHOTO FOURNIE PAR NISSAN

Une transmission automatique à double embrayage à six rapports reste au menu la Nissan GT-R Nismo.

Le V6 de 3,8 L biturbo assemblé à la main reste inchangé, produisant 565 ch ou 600 ch selon les livrées. Une transmission automatique à double embrayage à six rapports reste aussi au menu, tout comme le rouage intégral ATTESA ET-S qui assure sa motricité légendaire. Souhaitons maintenant qu’une nouvelle génération soit en chemin, car bien qu’accrocheuse, la ritournelle devient passablement répétitive.