À la suite de son dévoilement officiel en septembre, Ford a confirmé la puissance homologuée des moteurs de la septième génération de l’iconique Mustang. Comme avancé au cours de la présentation, tous les moteurs proposés auront droit à une injection plus ou moins substantielle de puissance en attendant l’arrivée probable de livrées Shelby.

La mécanique de série, qui sera, à l’instar de la génération actuelle, un quatre-cylindres turbocompressé de 2,3 L, gagne un petit total de 5 ch pour 315 ch au bout du compte et un couple de 350 lb-pi. Cela en fait la Mustang de série la plus puissante par une légère marge. Malgré sa cylindrée identique à celle du moteur qu’il remplace, ce bloc est entièrement nouveau et gagne entre autres un système d’injection doté d’injecteurs logés tant dans la chambre de combustion que dans le collecteur d’admission.

La version GT recevra quant à elle un V8 de 5 L maintenant doté de deux papillons d’alimentation en air. Sa puissance de série passe à 480 ch et son couple grimpe à 415 lb-pi, des gains respectifs de 30 ch et 5 lb-pi face à la dernière année de la sixième cuvée de la Mustang.

Finalement, la nouvelle variante Dark Horse de la Mustang GT pousse sa puissance maximale à 500 ch et 418 lb-pi de couple, lui assurant le titre de moteur atmosphérique le plus puissant jamais installé dans une Mustang qui n’a pas le logo Shelby sur ses ailes avant. Son régime de rotation maximal se situe à 7500 tr/min, question d’assurer de la théâtralité au rendu.

Rappelons que seules les Mustang 2024 dotées d’un V8 pourront être livrées avec une boîte manuelle. La version GT conserve sa boîte Getrag à six rapports et la Dark Horse reçoit l’excellente transmission Tremec, aussi à six rapports. Une transmission automatique à 10 vitesses est proposée en parallèle.