Cela permet un accès d'un mètre cinquante sur les côtés, grâce à un système de portières inédit. C'est très utile quand on a de petits enfants à installer dans un siège d'auto. Les deux portes avant sont traditionnelles, mais les portes arrière coulissent vers l'arrière. L'effet structurant normalement assuré par le pilier B est transféré dans les quatre portes, à cadres renforcés et inhabituellement épaisses. Fermées, elles s'imbriquent l'une dans l'autre et se verrouillent avec un loquet robuste.

Cela permet un accès d'un mètre cinquante sur les côtés, grâce à un système de portières inédit. C'est très utile quand on a de petits enfants à installer dans un siège d'auto. Les deux portes avant sont traditionnelles, mais les portes arrière coulissent vers l'arrière. L'effet structurant normalement assuré par le pilier B est transféré dans les quatre portes, à cadres renforcés et inhabituellement épaisses. Fermées, elles s'imbriquent l'une dans l'autre et se verrouillent avec un loquet robuste.

On a demandé à Ford Europe plus de détails, mais c'est l'embargo jusqu'au Congrès mondial de la mobilité, le 27 février à Barcelone, où le président du conseil de Ford, Bill Ford, révélera peut-être des détails techniques sur la B-Max.

La Presse Auto se demandait si les ingénieurs de Ford auraient utilisé une technique qu'on trouve dans certaines décapotables, soit contreventer le châssis de la voiture avec une croix de Saint-André (deux barres d'acier unies en X). Mais c'est un procédé notoirement lourd, qui hausse considérablement la consommation d'essence.

Or, Ford a annoncé jeudi dernier la consommation promise de la B-Max, «la meilleure du segment», promet l'Ovale bleu, avec 4,9 L/100 km pour le moteur à essence d'un litre et 4 L/100 km avec le moteur diesel de 1,6 litre. Alors, on peut probablement faire un X sur la croix de Saint-André.