Les pays du Moyen-Orient veulent maximiser les revenus qu'ils tirent de la vente de pétrole à l'étranger et, pourquoi pas, améliorer la qualité de l'air dans leur région. C'est pourquoi les efforts pour diversifier les sources d'énergie y sont si nombreux.

Les pays du Moyen-Orient veulent maximiser les revenus qu'ils tirent de la vente de pétrole à l'étranger et, pourquoi pas, améliorer la qualité de l'air dans leur région. C'est pourquoi les efforts pour diversifier les sources d'énergie y sont si nombreux.

La solution la plus populaire pour remplacer le pétrole dans les automobiles est le gaz naturel. Bientôt, on y comptera d'ailleurs un million de véhicules au gaz naturel, bien plus que dans de nombreux autres pays dépendants plus sérieusement de leurs réserves en pétrole.

Selon l'Association internationale pour les véhicules au gaz naturel, la législation de pays comme l'Égypte, l'Iran et les Émirats arabes unis est la cause de cet intérêt envers le gaz naturel. Déjà, les trois pays à eux seuls comptent environ 250 000 véhicules au gaz naturel.

Les Iraniens achètent en moyenne plus de 12 000 véhicules au gaz naturel par mois. Il n'y a pas que ces pays qui utilisent le gaz naturel dans le transport, évidemment. Selon l'Association, le nombre de véhicules au gaz naturel devrait décupler, et atteindre plus de 50 millions d'unités d'ici 2020.