Émile Bilodeau se décrit comme « un peu fucké ». Il chante aussi « je suis un fou ». On dirait plutôt qu’il a trouvé un équilibre savant entre la fête et l’engagement, entre la poésie et la fantaisie. Une alchimie qu’il nous a servie avec aplomb, jeudi soir, sur la scène du Festival d’été de Québec (FEQ).

L’auteur-compositeur-interprète n’en était pas à son premier passage au rendez-vous estival : on l’a notamment déjà vu faire un tabac place D’Youville, où il avait fait courir les foules. Pandémie oblige, ils étaient quelque 500 amateurs de chansons dégourdies réunis au Manège militaire, sans compter ceux qui assistaient au spectacle virtuellement.

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