Le Cirque du Soleil a indiqué vendredi qu'il n'était pas affecté par les problèmes financiers de son actionnaire minoritaire de Dubaï, le groupe immobilier Nakheel and Istithmar World Capital.

La société de divertissement montréalaise affirme qu'aucun argent ne lui était dû et qu'elle n'anticipe conséquemment pas de suite aux problèmes de dettes de la filiale de Dubai World.

Dubai World a demandé mercredi un délai de six mois pour effectuer certains paiements sur sa dette de 60 milliards de dollars américains.

La société de Dubaï, contrôlée par le gouvernement, ainsi que sa branche d'investissement, ont confirmé l'an dernier s'être emparé d'une participation de 20% dans le Cirque du Soleil.

Pendant que les conséquences de la crise de Dubaï faisaient des vagues à travers le monde, les entreprises canadiennes semblaient plutôt bien se tirer d'affaires, n'étant peu ou pas exposées à cette défaillance.