L'agence de notation DBRS affirme que les ménages canadiens sont pour la plupart en mesure de résister à une baisse marquée des prix des logements.

DBRS estime que le ménage moyen serait même capable de faire face à une chute de 40% de la valeur de son domicile.

Cependant, l'agence juge préoccupantes la hausse de l'emprunt et l'accessibilité accrue à la propriété immobilière.

Selon DBRS, le rythme plus élévé de l'accumulation de la dette par rapport à l'économie ou au revenu moyen des ménages a donné lieu à une hausse des prix des logements et de l'emprunt.

Cela s'est traduit par une baisse de l'accessibilité à la propriété immobilière, exerçant une pression sur le budget quotidien des ménages canadiens, de sorte qu'ils se retrouvent avec une marge de manoeuvre restreinte en cas de dépenses inattendues.