Le Brésil, l'Inde et la Chine devraient valoir des occasions de croissance à l'entreprise de logiciels de gestion Open Text (T.OTC), les sociétés de ces pays faisant de plus en plus face à la nécessité de gérer leur contenu numérique.
Les entreprises brésiliennes, chinoises et indiennes accroissent rapidement leur utilisation de technologies reposant sur internet, a affirmé jeudi, lors d'un entretien, Tom Jenkins, président exécutif et directeur de la stratégie de la compagnie de Waterloo, en Ontario.
M. Jenkins a par ailleurs qualifié d'«acquisition très stratégique» l'achat récent de la société montréalaise Nstein Technologies, en raison de sa technologie.
Nstein apporte à Open Text des logiciels qui, selon M. Jenkins, permettent aux utilisateurs de tailler sur mesure leurs recherches sur le Web.
Open Text a récemment annoncé avoir enregistré au premier trimestre un bénéfice net de 21,7 millions US, soit 37 cents US par action, comparativement à un bénéfice net de 1,7 million US, ou trois cents US par action, lors de la même période il y a un an.
Les revenus de la société se sont élevés à 217,4 millions US pendant la période de trois mois terminée le 30 septembre, contre 211,4 millions US.
L'action d'Open Text a clôturé la séance de jeudi en baisse de 18 cents à la Bourse de Toronto, à 43,47 $.