Bell Aliant (T.BA.UN) s'apprêterait à supprimer environ 300 emplois dans l'est du Canada, rapportent certains médias, mais le fournisseur de services de télécommunications a démenti mercredi l'ampleur de ces coupes.

Bell Aliant [[|ticker sym='T.BA.UN'|]] s'apprêterait à supprimer environ 300 emplois dans l'est du Canada, rapportent certains médias, mais le fournisseur de services de télécommunications a démenti mercredi l'ampleur de ces coupes.

La porte-parole de l'entreprise, Brenda Reid, a confirmé qu'un certain nombre d'employés au Québec et en Ontario ne travailleraient plus pour Bell Aliant.

Mais Mme Reid n'a pas précisé le nombre d'employés ou de départements affectés par cette décision, insistant cependant sur le fait que les changements ne seraient pas aussi importants que les chiffres avancés par les médias.

Elle a également affirmé que les changements faisaient parti des variations normales des activités de l'entreprise et que celle-ci devrait aussi embaucher de nouveaux employés.

Bell Aliant, très présente dans certaines régions du Québec et de l'Ontario, a historiquement été l'un des plus importants fournisseurs de services de téléphonie et d'Internet.

Le cours des parts du fond de revenus a clôturé mercredi à 23,88 $ à la Bourse de Toronto, en baisse de 52 cents par rapport à la veille.