Quand on se compare, on se console. Les maisons à Ottawa peuvent sembler chères, mais elles demeurent abordables par rapport à d'autres grands marchés comme Vancouver et Toronto, révèle une étude sur l'accessibilité à la propriété réalisée par la Banque Royale (RBC).

Quand on se compare, on se console. Les maisons à Ottawa peuvent sembler chères, mais elles demeurent abordables par rapport à d'autres grands marchés comme Vancouver et Toronto, révèle une étude sur l'accessibilité à la propriété réalisée par la Banque Royale (RBC).

L'étude publiée hier conclut que l'accessibilité à une maison s'est détériorée au Canada pour un troisième trimestre d'affilée. L'accessibilité à la propriété s'est détériorée dans trois segments du marché sur quatre cet été. La catégorie des appartements en copropriété a été l'exception.

RBC affirme que le prix des maisons a aussi augmenté à Ottawa. Sauf que ces hausses "ont été relativement plus modestes que sur d'autres marchés", peut-on lire dans le rapport.

Le marché immobilier d'Ottawa est bien équilibré entre acheteurs et vendeurs. La hausse des revenus des ménages a aussi atténué les effets des hausses des taux hypothécaires, des coûts des services publics et des prix des maisons.

Plus de détails dans notre édition du mercredi 20 septembre