Un peu plus de sept mois se sont écoulés depuis les tragiques événements de l’Halloween dans le Vieux-Québec. Jacques Fortin, qui a vu sa compagne adorée Suzanne Clermont assassinée gratuitement devant leur condo de la rue des Remparts, commence à peine à voir le brouillard se dissiper dans son esprit. Les images insupportables qui tournent en boucle dans sa tête commencent lentement à faire place à un apaisement salvateur.

Assis dans un coin d’ombre de la petite place de la rue des Remparts, où trône depuis la semaine dernière un banc dédié à la mémoire de la disparue, l’ancien animateur de radio et de télé revient, à la demande du Soleil, sur cette soirée du 31 octobre qui a marqué à jamais sa vie au fer rouge, et sur son long cheminement vers une existence un tant soit peu normale.

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