Toutes les raisons sont bonnes pour manifester, du « convoi de la liberté » à la COP15, en passant par le droit d’allaiter en public. Plusieurs Québécois se sont prévalus de ce droit en 2022.

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À la suite de l’invasion russe en Ukraine, il y a eu plusieurs manifestations de soutien au peuple ukrainien à Montréal, notamment le 16 avril à la place Jacques-Cartier.

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Soirée organisée à Wendake le 26 juillet, soulignant l’arrivée de marcheurs partis de Mashteuiatsh pour rencontrer le pape à Québec. Les marcheurs ont parcouru 275 kilomètres pour mettre en lumière les souffrances vécues par les Autochtones, notamment dans les pensionnats.

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Des mères ont allaité en public au Centre Eaton de Montréal, le 27 mars, pour dénoncer l’expulsion – au même endroit – d’une maman qui avait aussi nourri son enfant.

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Le 5 mars, des opposants aux mesures sanitaires ont formé ce qu’ils ont appelé une « chaîne de la liberté », au bord de l’autoroute 20, à Beloeil.

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Malgré un important déploiement policier, des centaines de manifestants ont parcouru les rues du centre-ville de Montréal le 7 décembre. Leur but ? Protester contre l’ouverture de la COP15 sur la biodiversité et dénoncer « l’hypocrisie » des États qui y participent.

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Le 22 octobre, des milliers de gens ont manifesté leur soutien au peuple iranien et dénoncé le régime politique oppressif de la République islamique, à Montréal.

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La décision du juge Matthieu Poliquin, qui a accordé une absolution conditionnelle à l’ingénieur Simon Houle après qu’il eut reconnu sa culpabilité à des accusations d’agression sexuelle et de voyeurisme, a secoué le Québec. De nombreux militants se sont rassemblés le 10 juillet au Palais de justice de Montréal afin de dénoncer les failles du système de justice en matière de violences sexuelles.

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Des groupes de défense de la minorité anglophone de la province ont organisé, le 14 mai, une manifestation contre le projet de loi 96 sur « la langue officielle et commune du Québec, le français ».