Le 12 février, il y aura 100 ans que la petite Aurore Gagnon, de Sainte-Philomène de Fortierville, est morte à la suite des mauvais traitements infligés par sa belle-mère, Marie-Anne Houde. Le jour de cette triste commémoration, la Commission spéciale sur les droits des enfants et la protection de la jeunesse tiendra encore des audiences pour comprendre pourquoi une fillette de Granby a connu un sort analogue en 2019. Près d’un siècle sépare Aurore et « Tililly » mais leurs histoires comportent des éléments communs malgré l’évolution des lois et des méthodes éducatives.

Lorsqu’il a lancé en mai la Commission spéciale sur les droits des enfants et la protection de la jeunesse, le premier ministre François Legault a souhaité qu’il y ait un « avant et un après-Granby ».

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