5 endroits hors du commun où se laisser bercer dans les bras de Morphée.

En plein ciel!

Pour la modique somme de 15 000$ par personne, on peut réserver une chambre avec lit à deux places à bord du nouvel appareil A380 de Singapour Airlines et dormir à 39 000 pieds au-dessus du sol. Parcourir la moitié du globe, entre New York et Singapour, confortablement enfoui sous les couvertures, ça n'a pas de prix, non? À noter: les ébats sont interdits!

Dans un cocon

Un centre de conditionnement physique de Charlotte, en Caroline du Nord, offre une classe de... sieste! Après des exercices de relaxation, les participants s'installent dans des hamacs de soie suspendus au plafond et, au son d'une musique apaisante, ils sont invités à s'assoupir pendant 25 minutes.

Au bar à sieste

Le Zzz Zen - Bar à sieste, dans le 2e arrondissement de Paris, se présente comme un centre de relaxation. On y propose une «micro-sieste» de 15 minutes ou une «sieste royale» de 45 minutes. Le roupillon se fait sur un fauteuil apesanteur ou sur un lit massant shiatsu. Le prix? De 12 à 27 euros.

Dans une boîte

De plus en plus de terminaux d'aéroport sont munis de minuscules cabines de repos qui permettent de relaxer entre deux vols: SnoozeCubes https://www.snoozecube.com (Dubaï), Minute Suites https://minutesuites.com/(Atlanta, Philadelphie), Yotel (Londres, Amsterdam), Sleep Box (Moscou). La NapCab est offerte à Munich au coût de 30 euros pour deux heures avec lit confortable et commodités pour travailler, écouter de la musique et un réveille-matin. Toute bonne chose a une fin!

Bientôt à Harvard?

Une pétition de plusieurs centaines d'étudiants de l'Université Harvard a circulé en février pour l'aménagement d'une salle de repos sur le campus, comme celle de l'Université du Colorado, à Boulder. En attendant une réponse de la direction, l'instigatrice Yuqi Hou a dessiné une carte des endroits propices à la sieste sur le campus. Selon un sondage maison, 21% des étudiants souffrent d'un manque de sommeil.