Leader surprise vendredi soir, Duval est parti à la faute, deux fois, dès la première spéciale du jour (ES7), perdant 16 secondes d'un coup. Au départ de la spéciale suivante (ES8), le moteur de sa Xsara a calé et le Belge en a perdu 10 de plus pour se retrouver à la 4e place, à 25 secondes de Loeb.

Leader surprise vendredi soir, Duval est parti à la faute, deux fois, dès la première spéciale du jour (ES7), perdant 16 secondes d'un coup. Au départ de la spéciale suivante (ES8), le moteur de sa Xsara a calé et le Belge en a perdu 10 de plus pour se retrouver à la 4e place, à 25 secondes de Loeb.

Principaux bénéficiaires des déboires de Duval, les deux Finlandais en Ford, Mikko Hirvonen, temps scratch dans l'ES7, et Grönholm, idem dans l'ES9, sont remontés au classement, puis Hirvonen a un peu chiffonné sa Focus. Du coup, Grönholm est passé devant son jeune coéquipier, en signant au passage son premier temps scratch du rallye, dans l'ES9.

Dans Arena Panzerplatte (ES10), redoutable spéciale de 30 km tracée dans le camp militaire de Baumholder, un cocktail de béton et de poussière destiné en général à des chars, Loeb a continué à creuser l'écart avec Grönholm, son poursuivant habituel, et Duval, remonté sur le podium provisoire.

La 2e étape continuait samedi après-midi avec quatre nouveaux passages (ES11 à ES14) dans les mêmes épreuves spéciales que le matin. Mais le niveau du suspense avait quelque peu baissé... en attendant d'éventuelles averses synonymes de choix de pneus délicats.