Voici quelques-unes de vos réponses à notre Mauvaise conduite de la semaine.

J’ai eu le privilège d’assister trois fois à un match des Orioles de Baltimore au Camden Yards. Et quelle surprise chaque fois d’avoir entendu des voix québécoises ! Avec en plus des matchs au Yankee Stadium, à New York, ce sont des souvenirs mémorables !

Madeleine Szots

À Tampa, le stade des Buccaneers est aussi réussi et très agréable pour assister à un match de la NFL. Mais je crois que Chicago remporte la palme. Le vieux Wrigley Field offre en effet une expérience unique. Et que dire du Soldier Field. Comme il est installé directement au centre-ville, on y va à pied et en plus, j’adore son architecture, comme celle de beaucoup d’immeubles de Chicago.

Jean-François Danis

Départ le mercredi en direction de l’aéroport de Raleigh-Durham, en Caroline du Nord. Immédiatement débarqués, nous avons pris la direction de Chapel Hill pour la première étape, une partie opposant les Fighting Irish de Notre Dame aux Tar Heels de l’Université de la Caroline du Nord, au Dean Smith Center. Déception, nous arrivons en retard en raison de la congestion. Cependant, visiter toutes les installations sportives, la nuit, sans personne a été une expérience incroyable. Nous avons fini par souper vers minuit, après la partie, dans un restaurant qui représentait si bien la rivalité entre Duke et UNC, deux tons de bleu. Le lendemain soir, par chance, la rivalité s’est transposée sur le terrain du mythique Cameron Indoor Stadium pour une partie de volley-ball féminin. Nous avons assisté gratuitement à cette partie à 2 m de la table d’arbitrage et, de l’autre côté, nous pouvions voir les joueurs de basketball qui venaient encourager leur équipe. Vendredi soir, dernière partie, le summum de notre voyage : une partie de basketball de Duke au Cameron Indoor avec les étudiants qui jetaient des sorts aux joueurs de l’autre équipe, le diable bleu faisant du surf. Wow, juste wow ! J’en ai encore la chair de poule.

Jean-Robert Ureche

PHOTO ARCHIVES REUTERS

Estádio da Luz, à Lisbonne

Estádio da Luz (le stade de la lumière), à Lisbonne, pour un match Benfica-Ajax d’Amsterdam. Premier constat : bière sans alcool seulement et les gens pouvaient fumer partout. Mais la vue dans le stade et l’ambiance étaient à couper le souffle.

Bastien Landry

En 1995 et 1996, je suis allé travailler au Colorado ; eh oui, le Coors Field est fantastique. Je disais à l’époque que j’avais suivi Larry Walker et Patrick Roy !

Denis Marquis

Par un bel après-midi de mai 2013, alors que nous étions en visite à Chicago, mon ami et moi sommes arrivés, un peu par hasard, devant le Wrigley Field, là où évoluent les Cubs de Chicago depuis… 1916 ! Nous nous sommes approchés de l’entrée où se trouvait un gardien qui, réalisant rapidement que nous étions des touristes, nous a demandé d’où nous étions. Ravi, semble-t-il, de se trouver en présence de Canadiens, il nous a offert une visite guidée privée du stade. On y a circulé une bonne demi-heure, buvant les explications et les descriptions de cet aimable gardien avec lequel nous étions absolument les seuls dans cette immense et impressionnante enceinte imprégnée d’histoire. Nous en sommes sortis absolument ravis !

Jean Allaire

Pour ma part, le PNC Park, des Pirates de Pittsburgh. Il est moderne, facilement accessible, on y mange assez bien, un petit tailgate party avant le match et le personnel comme les fans sont très gentils et aimables. Pour ma conjointe, le Lumen Field, des Seahawks de Seattle. Nous avons visité le Seahawks Nest il y a quelques années maintenant. Fascinant. La foule est discrète et disciplinée avant et après le match, mais pendant, oh boy, oh boy. Ça crie comme des malades. Les gens de Seattle sont d’une grande gentillesse. Une jeune fille avait même offert à ma conjointe de faire des tatouages (non permanents) des Seahawks sur les joues… Le plus orienté famille : le Great American Ball Park, des Reds de Cincinnati, avec ses extensions de terrasse à chaque étage avec des jeux pour les enfants.

Michel Dallaire

PHOTO PILAR OLIVARES, REUTERS

Le stade Maracana, à Rio de Janeiro

Assister à la finale des clubs brésiliens au stade Maracana reste l’expérience la plus incroyable… malgré le fait que j’aie été victime d’un pickpocket !

Bernard Héroux

Ce n’était pas le plus beau, mais plutôt une icône : le vieux Garden de Boston. À l’occasion d’un congrès dans cette belle cité, assister à un match dans cet aréna promis à la démolition à la fin de cette saison devenait un incontournable pour mon confrère et moi. Deux billets achetés dans la rue, ambiance électrisante malgré la colonne métallique cachant une partie de la glace, et surtout, la surprise de se faire demander un papier d’identité pour acheter une bière malgré nos cheveux grisonnants !

Michel Laroche

Helsinki, le stade olympique. Je devrais dire l’humble stade qui devrait servir d’exemple. Simplicité volontaire et humilité sont demandées. Les Jeux olympiques modernes ressemblent de plus en plus à la tour de Babel.

Michel Forget

En 2018, je visite Londres pour la première fois en compagnie de ma conjointe et de ma fille de 16 ans (mon fils n’a malheureusement pu se joindre à nous). Nous décidons d’aller faire The Queue, à Wimbledon. Il faut se lever très tôt pour obtenir un billet d’admission générale, mais l’expérience est unique ! L’ambiance est bon enfant, les gens piqueniquent et boivent des mimosas à 7 h le matin. Une fois sur le site, c’est l’éblouissement total. La beauté des lieux, la politesse de la foule, le son si particulier de la balle sur le gazon, l’ambiance festive sur Murray Mount… Les installations de Flushing Meadows sont impressionnantes et j’ai aussi eu la chance d’assister à une ronde d’entraînement au Masters à Augusta, mais rien ne peut battre l’ambiance de Wimbledon !

Eric Poirier

Le PNC Park, à Pittsburgh. Un magnifique stade de balle de 35 000 places, avec vue imprenable sur le centre-ville. Une ambiance chaleureuse. Une expérience à vivre à 10 heures de voiture de Montréal. Une ville charmante en plus. Un stade qui devrait inspirer nos concepteurs pour l’avenir à Montréal…

François Asselin