L'entraîneur-chef des Carabins de l'Université de Montréal, Danny Maciocia, a longtemps été fidèle à Volkswagen, mais rêve d'une Ferrari.

LA VOITURE QUI A MARQUÉ MON ENFANCE

La Buick Regal de ma mère. Mon père travaillait beaucoup à Québec, donc c'est ma mère qui m'amenait au hockey et à mes tournois de soccer. J'ai passé beaucoup de temps dans cette auto. Je me souviens aussi que les pneus d'hiver n'étaient pas très bons et l'auto dansait beaucoup dans la neige. On se demandait souvent si on allait se rendre !

MA PREMIÈRE VOITURE

Une Volkswagen Fox grise, 1988 ou 1989, que j'avais achetée neuve. Elle m'avait coûté 10 000 $. Quand t'es un jeune et que tu n'as pas les moyens d'acheter l'auto que tu souhaites, tu cherches une auto deux portes, quasi sportive. On était une famille Volkswagen, mes parents avaient des Volkswagen, ils connaissaient le concessionnaire et on savait que c'était une auto fiable.

MA PIRE VOITURE

Une Volkswagen Rabbit. Il n'y avait pas d'espace. Ce n'était pas une auto que tu voulais avoir quand tu étais célibataire. Tu ne voulais pas te promener avec ça sur Crescent au centre-ville !

LA VOITURE DE MES RÊVES

J'adore la F1, donc j'adore la Ferrari. Je ne suis pas un grand passionné d'autos, mais je me suis toujours dit qu'un jour, j'aimerais avoir une Ferrari. Elle restera peut-être stationnée dans mon garage ! Mais quand mes trois enfants auront fini l'école et qu'il ne restera plus que ma femme et moi, j'aimerais bien m'en offrir une.