Pour cette édition, le gros coupé à la stock car est légèrement amélioré, le système OnStar faisant son entrée dans les trois versions. Tandis que les versions LS et Supercharged SS sont de retour, l'édition mitoyenne SS est rebaptisée LT. Chaque modèle est animé par un moteur différent, qu'il s'agisse d'un V6 à aspiration naturelle de 180 ou 200 chevaux, ou encore d'un V6 avec compresseur, qui produit 240 chevaux. Dans tous les cas, la puissance est au bas mot suffisante pour satisfaire le conducteur, mais le bruit du moteur est très présent dans l'habitacle, un défaut agaçant.

Pour cette édition, le gros coupé à la stock car est légèrement amélioré, le système OnStar faisant son entrée dans les trois versions. Tandis que les versions LS et Supercharged SS sont de retour, l'édition mitoyenne SS est rebaptisée LT. Chaque modèle est animé par un moteur différent, qu'il s'agisse d'un V6 à aspiration naturelle de 180 ou 200 chevaux, ou encore d'un V6 avec compresseur, qui produit 240 chevaux. Dans tous les cas, la puissance est au bas mot suffisante pour satisfaire le conducteur, mais le bruit du moteur est très présent dans l'habitacle, un défaut agaçant.

Le Monte Carlo Supercharged SS hérite également d'une suspension raffermie, de roues de 17 pouces (en remplacement des roues de 16 po des autres versions), de retouches esthétiques intérieures et extérieures et de roues chromées optionnelles. La conduite est plus sportive, mais n'en espérez pas trop. L'accélération est certes puissante, mais tout le reste fait défaut : les freins et la suspension ont des limites bien en deçà de nos espérances.

Une douce boîte automatique à quatre rapports et des freins à disque complètent le tableau dans les trois cas. L'antiblocage, un système d'antidérapage et un indicateur de pression des pneus font partie de l'équipement des modèles LT et Supercharged SS, mais sont aussi disponibles sur le LS.

À l'intérieur, les habitués de Chevrolet sont en terrain connu. Tout est gris et beige, disons. Sans être épatant, le tableau de bord est toutefois ergonomique. On y est également confortable, même malgré un embonpoint causé par l'ingurgitation excessive de tacos (clientèle cible oblige!), sauf à l'arrière, où la banquette est difficilement accessible et peu spacieuse. La sécurité des occupants est moyenne, seul le conducteur ayant droit à des coussins gonflables de série (frontal) et en option (latéral).

À moins d'avoir le drapeau américain tatoué sur le cœur, il n'est pas mauvais de lorgner du côté de la nouvelle Toyota Camry Solara. La comparaison est intéressante.