Le boxeur québécois David Lemieux, dont le récent combat de championnat mondial à Laval contre Billy Jo Saunders a été largement médiatisé, n'a pas toujours été choyé en matière de voitures. Les pannes au milieu de la route, les voyages avec des autos de fortune, il a connu ça. Heureusement, son statut de boxeur international lui permet aujourd'hui d'être beaucoup plus à l'aise au volant.

LA VOITURE DE MON ENFANCE :

Mes parents conduisaient une Mercedes 300D-series 123-Diesel 1984, mais ce n'est pas le modèle de luxe que nous avons en tête. C'était plutôt un vieux bazou qui roulait difficilement ! Je garde de très bons souvenirs de famille dans cette voiture. Mes parents me la prêtaient également à l'occasion quand j'ai obtenu mon permis de conduire pour aller voir mes amis.

MA PREMIÈRE VOITURE :

Une Sunfire rouge que j'avais achetée à 18, 19 ans. J'avais fait la route de Montréal en Floride avec le coffre brisé, qui était resté à moitié ouvert avec des bagages qui débordaient. On était arrivés de peine et de misère à Miami et nous avons dû arrêter dans un garage pour la faire réparer avant de pouvoir rentrer.

MA PIRE VOITURE :

Je crois qu'il s'agissait d'une Chevrolet Corsica 2.2 blanche, que j'ai conduite deux mois avant d'acheter ma Sunfire. Elle faisait vraiment pitié et arrêtait tout le temps au milieu de la route, c'était vraiment gênant !

LA VOITURE DE MES RÊVES :

Je dois dire que je n'ai pas des goûts très extravagants en matière de voitures. Depuis quelques années, j'ai la chance d'être commandité par Hamel BMW de Blainville, qui me permet de conduire les plus récents modèles, dont la M4 que j'ai beaucoup aimée. Celle que je conduis actuellement est la BMW 750i et c'est vraiment le type de voiture que tu veux garder, car elle est fiable, confortable et a une très belle conduite.