Le président du conseil d'administration du Fonds de solidarité FTQ, Michel Arsenault, a confirmé l'implication de son organisation dans les tentatives de relance de l'usine Norsk Hydro de Bécancour.

Le président du conseil d'administration du Fonds de solidarité FTQ, Michel Arsenault, a confirmé l'implication de son organisation dans les tentatives de relance de l'usine Norsk Hydro de Bécancour.

«On aurait regardé sérieusement avec un opérateur russe, car si ça opèrerait, on ferait de l'argent, l'usine étant rentable», a-t-il indiqué lors de son passage, jeudi, à Trois-Rivières.

Lors de discussions de haut niveau en décembre 2007, on avait même envisagé de «repartir l'usine de lixiviation d'Asbestos pour fournir la matière première».

«Mais il n'y a pas d'opérateur et ça ne regarde pas très bien de ce côté-là, car ce qui fait peur, c'est le contrôle de la Chine où le magnésium leur sort par les oreilles», a-t-il conclu.