La valeur du titre de BCE (T.BCE) , la maison mère de Bell Canada, a grimpé de 2,3 % à 41,25 $, mardi, lors de la première journée de négociations boursières au Canada depuis que l'entreprise a annoncé, samedi, qu'elle acceptait l'offre d'achat de 51,7 G$ soumise par le Régime de retraite des enseignants et enseignantes de l'Ontario (Teachers).

La valeur du titre de BCE [[|ticker sym='T.BCE'|]] , la maison mère de Bell Canada, a grimpé de 2,3 % à 41,25 $, mardi, lors de la première journée de négociations boursières au Canada depuis que l'entreprise a annoncé, samedi, qu'elle acceptait l'offre d'achat de 51,7 G$ soumise par le Régime de retraite des enseignants et enseignantes de l'Ontario (Teachers).

L'offre de 42,75 $ par action donnerait à Teachers une participation de 52 % dans BCE, tandis que ses partenaires américains détiendraient des participations plus modestes, selon l'annonce faite samedi.

La participation de Providence Equity Partners s'élèverait à 32 % et celle de Madison Dearborn à 9 %, des investisseurs canadiens non identifiés se partageant les 7 % restant.

Teachers était déjà le principal actionnaire de BCE, avec une participation de 6,8 %.

Cette prise de contrôle serait la plus importante de l'histoire du Canada. L'entente comprend des frais de rupture de 800 M$ payables par BCE, et de 1 G$ payables par Teachers.

D'autres acheteurs intéressés par BCE, dont sa rivale Telus et le fonds de placements privés Cerberus Capital Management, n'excluent pas déposer leurs propres offres pour concurrencer Teachers.