En raison de la restructuration et la formation de Bell Aliant, le géant des télécoms BCE voit ses profits chuter de 35% à 285 M$ ou 36 cents par action au troisième trimestre.

En raison de la restructuration et la formation de Bell Aliant, le géant des télécoms BCE voit ses profits chuter de 35% à 285 M$ ou 36 cents par action au troisième trimestre.

BCE a tiré des revenus en hausse de 0,3% à 4,4 G$ de ses activités. Les flux de trésorerie provenant de l'exploitation se sont élevés à 1,6 G$, en hausse de 2,1%.

L'entreprise montréalaise attribue cela à une hausse de revenus moyens par unité de service et par l'ajout de clients dans le sans-fil, la vidéo et Internet haute vitesse.

De plus, la pénétration a été de 24% des foyers abonnés à au moins trois services au Québec et en Ontario, comparativement à 21% à pareille date l'an dernier.

«Nous avons progressé dans chacun des aspects fondamentaux de notre stratégie d'affaires au cours du trimestre», affirme Michael Sabia.

«Nous sommes concentrés sur la performance du service à la clientèle et nous continuons de renforcer les services d'installation et de réparation et de fournir une

formation spécialisée à nos employés en contact avec les clients», ajoute M. Sabia.

BCE traîne une dette à long terme en hausse de 10,5% à 13 G$. Son encaisse et les équivalents se sont toutefois multipliés plus de six fois à 2,29 G$.