Yvon Duhaime tient parole et portera en Cour d'appel les deux plus récents jugements de la Cour supérieure concernant l'Auberge Grand-Mère. Un avocat le représentera cette fois-ci dans ces dossiers.

Yvon Duhaime tient parole et portera en Cour d'appel les deux plus récents jugements de la Cour supérieure concernant l'Auberge Grand-Mère. Un avocat le représentera cette fois-ci dans ces dossiers.

L'homme d'affaires entend bien gagner cette autre manche. «Si je ne croyais pas l'emporter, on n'irait pas en appel», insiste-t-il.

S'il est d'accord avec l'abaissement du prix de vente de l'établissement, fixé par la juge Rita Bédard à 700 000 $, l'ancien propriétaire souhaite qu'on reconnaisse maintenant son droit de déposer une offre de 725 000 $.

La Banque de développement du Canada a quant à elle déjà accepté une offre de 700 000 $ du Réseau sélection qui souhaite intégrer l'auberge à un projet de développement près du club de golf de Grand-Mère.

Dans un tout autre dossier, Yvon Duhaime conteste également le rejet du recours contre ses assureurs, déclaré nul ab initio, qu'il n'a pu poursuivre puisqu'il se représentait lui-même devant la Cour. Il demande à la Cour d'appel d'y ajouter le nom du nouvel avocat au dossier.

«Il y a maintenant un avocat là-dedans, parce que c'est très exigeant», explique-t-il.