Le Québec vu des airs Les six saisons autochtones : l’été
-
PHOTO YVES TREMBLAY, LES YEUX DU CIEL, COLLABORATION SPÉCIALE
Bras de rivière en Eeyou Istchee. Le sud du territoire cri est jonché de lacs et de rivières. Les bassins versants se rejoignent parfois de façon incongrue, comme ici près d’Oujé-Bougoumou.
-
PHOTO YVES TREMBLAY, LES YEUX DU CIEL, COLLABORATION SPÉCIALE
Matin de brume en Abitibi. Les clans des Témiscamingues et des Abitibis, habiles en forêt, ont apporté une aide précieuse au développement de la région, en plus de lui donner son nom (Abitibi, « là où les eaux se séparent » ; Témiscamingue, « au lac profond »).
-
PHOTO YVES TREMBLAY, LES YEUX DU CIEL, COLLABORATION SPÉCIALE
Soleil de minuit. Possible seulement en été : il était 23 h quand nous avons pris cette photo aérienne des dunes de sable blond, près de Kuujjuarapik. Le haut des dunes offre une très belle vue de la baie d’Hudson et des îles Manitounuk.
-
PHOTO YVES TREMBLAY, LES YEUX DU CIEL, COLLABORATION SPÉCIALE
Plage et plateau. Considéré comme le Grand Canyon du Québec, le massif rocheux du parc national Tursujuq, la plus vaste aire protégée du Québec avec ses 26 107 km2, s’étire jusque sur les rives de la baie d’Hudson.
-
PHOTO YVES TREMBLAY, LES YEUX DU CIEL, COLLABORATION SPÉCIALE
Écailles d’esturgeon. À vol d’oiseau, la nature nous présente souvent des similitudes entre le monde animal et son habitat. Les nombreuses bandes de sable se forment en réagissant au courant de la rivière Ashuapmushuan, qui termine sa course dans le Pekuakami (lac Saint-Jean).
-
PHOTO YVES TREMBLAY, LES YEUX DU CIEL, COLLABORATION SPÉCIALE
Épuration naturelle. L’eau qui émerge du pergélisol crée une formation presque parfaite de polygones, ce qui offre un coup d’œil à la fois symétrique et artistique !
-
PHOTO YVES TREMBLAY, LES YEUX DU CIEL, COLLABORATION SPÉCIALE
Grande Entrée. Le cercle est une représentation hautement significative chez les Premières Nations. Y entrer, dans un groupe ou en soi-même, permet le rassemblement dans ce que les aînés nomment la Grande Entrée, soit la reconnaissance de ses pairs dans la communauté.
-
PHOTO YVES TREMBLAY, LES YEUX DU CIEL, COLLABORATION SPÉCIALE
Cœur naturel no 38. Tout près de Radisson et de l’évacuateur de crue appelé l’Escalier des géants, comme un clin d’œil aux harnacheurs de rivières, Terre-Mère nous présente l’un de ses innombrables cœurs naturels, offrant ainsi à notre vue ses beautés du haut des airs.
-
PHOTO YVES TREMBLAY, LES YEUX DU CIEL, COLLABORATION SPÉCIALE
Flèche littorale. Il y a à peine deux générations, pour tenter de sédentariser les Autochtones, les autorités religieuses ont tenté, sans succès, d’implanter une ferme laitière dans la communauté innue de Pessamit, bordée de plages sablonneuses.
-
PHOTO YVES TREMBLAY, LES YEUX DU CIEL, COLLABORATION SPÉCIALE
Menant au fleuve. Les monticules sont nombreux sur les berges du Saint-Laurent, tout le long du parc côtier Kiskotuk. Cela nous mène à la montagne sacrée de Gros-Cacouna, où se trouve l’observatoire des mammifères marins Putep ’t-awt.
-
PHOTO YVES TREMBLAY, LES YEUX DU CIEL, COLLABORATION SPÉCIALE
Jeté à la mer. Nombreux sont les sentiers du Nitassinan (territoire innu) qui se terminent aux abords rocheux du grand fleuve, comme ici à Essipit, près des Escoumins, sur la Côte-Nord.
-
PHOTO YVES TREMBLAY, LES YEUX DU CIEL, COLLABORATION SPÉCIALE
Arc-en-ciel permanent. La crue des eaux de la Grande rivière de la Baleine augmente le débit des chutes à l’est de Whapmagoostui-Kuujjuarapik, à la frontière des territoires d’Eeyou Istchee–Baie-James et du Nunavik.
1/12