Cuba vibre aux rythmes de différents styles de musique – fusion, rumba, trova, conga, changüí – qui, malgré leurs différences, provoquent une envie irrésistible de danser. Un journaliste et un photographe du New York Times ont parcouru la Perle des Antilles à la découverte des nombreuses racines qui forment le son cubain.
— D’après le New York Times

  • Pendant toute l’année, les groupes formés de percussionnistes, danseurs et chanteurs – appelés comparsas – pratiquent en vue du carnaval.

    PHOTO TODD HEISLER, FOURNIE PAR THE NEW YORK TIMES

    Pendant toute l’année, les groupes formés de percussionnistes, danseurs et chanteurs – appelés comparsas – pratiquent en vue du carnaval.

  • Yolexi Rodríguez Macarro, qui joue de la marímbula dans la formation Changüí Guantánamo, est un représentant du style changüí presque exclusif à l’est de l’île. On le voit ici dans le studio Egrem à Santiago de Cuba.

    PHOTO TODD HEISLER, FOURNIE PAR THE NEW YORK TIMES

    Yolexi Rodríguez Macarro, qui joue de la marímbula dans la formation Changüí Guantánamo, est un représentant du style changüí presque exclusif à l’est de l’île. On le voit ici dans le studio Egrem à Santiago de Cuba.

  • La marímbula ressemble à une grosse boîte en bois sur laquelle sont fixées des languettes de métal qui recouvrent des trous. Assis sur son instrument, le joueur produit des vibrations en tirant sur les languettes, qui se transforment en son très grave lorsqu’elles ressortent par les trous. 

    PHOTO TODD HEISLER, FOURNIE PAR THE NEW YORK TIMES

    La marímbula ressemble à une grosse boîte en bois sur laquelle sont fixées des languettes de métal qui recouvrent des trous. Assis sur son instrument, le joueur produit des vibrations en tirant sur les languettes, qui se transforment en son très grave lorsqu’elles ressortent par les trous. 

  • Dans la capitale, La Havane, on pratique un style qu’on pourrait qualifier de « jazz fusion cubain ». Ces deux musiciens jouent au restaurant Europa dans la plus vieille partie de la ville. 

    PHOTO TODD HEISLER, FOURNIE PAR THE NEW YORK TIMES

    Dans la capitale, La Havane, on pratique un style qu’on pourrait qualifier de « jazz fusion cubain ». Ces deux musiciens jouent au restaurant Europa dans la plus vieille partie de la ville. 

  • Erik Iglesias Rodríguez, alias Cimafunk, s’est installé dans la capitale, en 2011, dans l’espoir de faire carrière en musique. Il a joué dans les parcs et tous les établissements possibles avant de se joindre au légendaire collectif Interactivo en 2014.

    PHOTO TODD HEISLER, FOURNIE PAR THE NEW YORK TIMES

    Erik Iglesias Rodríguez, alias Cimafunk, s’est installé dans la capitale, en 2011, dans l’espoir de faire carrière en musique. Il a joué dans les parcs et tous les établissements possibles avant de se joindre au légendaire collectif Interactivo en 2014.

  • Le groupe a lancé l’album Terapia, en 2017. Les pièces Ponte Pa’ Lo Tuyo et Me Voy ont remporté beaucoup de succès à Cuba et ont contribué à l’ascension de Cimafunk, qui s’est retrouvé dans la liste des 10 artistes latinos à surveiller en 2019 de Billboard. 

    PHOTO TODD HEISLER, FOURNIE PAR THE NEW YORK TIMES

    Le groupe a lancé l’album Terapia, en 2017. Les pièces Ponte Pa’ Lo Tuyo et Me Voy ont remporté beaucoup de succès à Cuba et ont contribué à l’ascension de Cimafunk, qui s’est retrouvé dans la liste des 10 artistes latinos à surveiller en 2019 de Billboard. 

  • L’orchestre local joue au grand plaisir de la foule réunie dans la place publique de Santa Clara.

    PHOTO TODD HEISLER, FOURNIE PAR THE NEW YORK TIMES

    L’orchestre local joue au grand plaisir de la foule réunie dans la place publique de Santa Clara.

  • Une femme danse en attendant le spectacle à venir à la Casa de la Música de Miramar, à La Havane.

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    Une femme danse en attendant le spectacle à venir à la Casa de la Música de Miramar, à La Havane.

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